Le
20.10.16
- pique-niquer;
- visite des stands publicitaires;
- visite du ponton avec les bateaux;
- présentation privée du bateau de Jérémie Beyou par Laurent.
Nous
avons mangé notre déjeuner assis sur le sol. Il faisait très bon au soleil.
Nous aimons beaucoup pique-niquer.
Lors
de la visite des stands, un groupe a conduit virtuellement un bateau sur une
télé. Pour d'autres, une styliste de Tribord nous a expliqué ce qu'elle
faisait. Elle nous a montré un gilet de sauvetage réversible qui fait aussi
doudoune. Pour d'autres encore, nous avons fabriqué des maquettes de bateau à
partir de barquette de poulet.
Nous
avons vu les stands des différents sponsors. Il y avait aussi un grand
chapiteau qui présentait les différents skippers de la course.
Ensuite,
nous sommes descendus au niveau des pontons pour voir les bateaux des
différents navigateurs. Nous avons été pris en photo devant le bateau du
participant que nous allons suivre pendant la course. Certains ont eu la chance
de voir les concurrents suivants : Romain Attanasio, Jean Le Cam, Didac Costa,
Tanguy De Lamotte, Paul Meilhat.
Nous
avons également eu la chance d'avoir une présentation privée du bateau de
Jérémie Beyou par Laurent un des membres de son équipe.
À
quoi ressemble le bateau ?
Son bateau fait 18 m de long, 6 m de largeur,
29 m de haut et 6 m de quille. Nous savons maintenant que le bateau peut se
retourner mais il se remet en place tout de suite. Il y a des hélices à
l'arrière du bateau pour produire de l' électricité. Il y a plusieurs sortes de
voiles qui sont au nombre de 6. Lors des tempêtes ou quand il y a beaucoup de
vent, on utilise les petites voiles et quand il fait beau ou qu'il n'y a pas
trop de vent, on sort les grandes voiles. Quand on ne se sert pas d'une voile,
elle est pliée en accordéon.
Comment
vit-il au quotidien ?
Les
requins ne viennent jamais se frotter au bateau car ils en ont peur. Il y a un
pilote automatique qui permet de guider le bateau quand le pilote dort ou
mange.
Les
skippers ne dorment pas longtemps, de 15 min à une demie-heure, mais plusieurs
fois par jour. Pour manger, Jérémie a sa nourriture dans des sacs iophillisés,
c'es-à-dire, sans eau. Il rajoute de l'eau chaude ou froide dans le sachet et
son repas est prêt. Il y a 180 kg de nourriture dans le bateau au départ. Pour
boire, il a une machine qui rend potable l'eau de la mer. Pour aller aux
toilettes, il peut uriner dans un pot, vide dans un sac biodégradable et jette
le tout à la mer.
Quand
il y a un problème sur un bateau, il y a beaucoup de solidarité entre les
navigateurs. La vie d'un homme est toujours plus importante que la victoire
d'un autre. Tous les concurrents sont avant tout amis.